BAD JOHNSON de Hugh Botko

Un dragueur invétéré émet le souhait de ne plus être guidé par sa bite. Le lendemain, il est exaucé : son membre a disparu, pour prendre la forme d’un être humain animé des pires traits de sa personnalité. Pour poursuivre son élégante métaphore filée, le film manque furieusement de burnes et s’épanche dans un récit moralisateur, tout en essayant de faire oublier son indécrottable idiotie.