COLT 45 de Fabrice du Welz

Il y a un vrai bon film caché derrière ce produit remonté comme tel, derrière ces ellipses aveuglantes, ces fulgurances tronquées et ce Joey Starr au moins bourré. Le rêve de voir le director’s cut s’estompe à la seule évocation du nom du producteur a priori responsable.