Il sourd de ce film un profond malaise quant aux choix de carrière de Donnie Yen, grand artiste martial à deux doigts de passer du statut de vétéran à celui de retraité. Donnie joue un flic infiltré très proche de sa môman, ne lève plus trop la jambe, se rend complice de gags et de scènes de pur remplissage toutes plus lamentables les unes que les autres. En même temps, que peut-on encore attendre de Clarence Fok, dont la carrière n’a cessé de baisser en qualité depuis 1992, année de la sortie de son intrinsigeant Naked Killer ? Exactement, rien. Et rien nous obtînmes.
SPECIAL ID de Clarence Fok
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