Si ce film avait été réalisé par n’importe qui d’autre, sorti six mois plus tôt ou six mois plus tard, PEUT-ETRE eut-il soulevé quelques centaines de sourcils supplémentaires. Mais là, ce triste survival gore se contente de hurler l’aveu d’impuissance d’un Rob Zombie hagard face à quelque renouvellement significatif que ce soit de son imaginaire thématico-visuel. Les nains nazis s’y trépanent dans une certaine tristesse. Sheri Moon danse lascivement, comme toujours.
31 de Rob Zombie
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