La dépendance, ce douloureux problème. Plus engageant qu’un énième discours politicien sur le sujet, ce tout tout tout petit film anglais réunit une infirmière obèse en manque d’amour et un petit vieux indolent gagné par la “raideur“, en fait une sorte d’épidémie zombiesque comme il y en a tant ces jours-ci. Ces deux corps ingrats, sublimés par leur rapprochement, s’ébrouent dans une parabole sociétale qui s’emmêle franchement les pinceaux dans le dernier acte. Mais la curiosité vaut quand même le coup d’œil.
HAROLD’S GOING STIFF de Keith Wright
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