Les théories du complot sont-elles solubles dans la culture pop ? Première étape, la compilation feuilletonnante bon teint pour plagistes signée Dan Brown. Round 2, la synthèse scénaristique approximative par ce tocard en déshérence de David Koepp. Enfin, le coup de polish final par Ron Howard, le non-auteur prolifique au style le plus anonyme qu’Hollywood ait jamais connu. Bien moins stimulante que la série Utopia sur un ressort dramatique similaire, cette bouse distrayante grâce à la coiffure de Tom Hanks s’avère en sus aussi capillotractée et potentiellement dangereuse qu’une enquête amateur sur le #pizzagate.
INFERNO de Ron Howard
Posted on