Incroyable comme ce film fonctionne en métaphore de la filmographie de son réalisateur : une suite de bonnes idées délivrées un peu n’importe comment, dans le désordre, avec acuité et nonchalance en très délicate opposition. Les courts moments de grâce n’atténuent plus l’écriture en pilotage automatique, personne ne sait où il va, donc dans le doute, faisons de jolis plans. Un petit cœur avec les doigts pour le pétage de plomb à une heure de film.
L’AFFAIRE JESSICA FULLER de Michael Winterbottom
Posted on