Il ne faut surtout rien dire de cette jubilatoire itération d’un thème très à la mode en ce moment dans le cinéma fantastique lo-fi, si ce n’est, peut-être, que les deux acteurs principaux livrent des performances mémorables, que le script est malin sans se la péter, et que la réalisation s’approche dangereusement de la perfection.
THE ONE I LOVE de Charlie McDowell
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