Fasciné par son sujet, ce documentaire ne prend aucun risque et martèle à quel point Glenn Milstead, l’homme derrière la diva tapageuse immortalisée par John Waters, était profondément gentil et professionnel. L’attention se réveille à la fin, émouvant requiem pour celui qui allait enfin sortir du personnage dont il était prisonnier, et embrasser sa reconnaissance mille fois méritée. Soudain, le même doute que devant Interstellar : s’il y a petite larme, c’est que ça doit être bon, quelque part. Quelque part.
I AM DIVINE de Jeffrey Schwartz
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