Oui, en effet, à côté de l’innommable Sous les jupes des filles, cette nouvelle itération générationnelle de la franchise girl power passerait presque pour du Capra. Il y a un minimum de construction dramatique, des personnages presque développés, et les tics de réalisation font sens. Selon son humeur globale, il est tout de même possible d’être terrifié par le fatalisme démissionnaire du récit, tant dans la fragilité de ses articulations que dans son discours.
LES GAZELLES de Mona Achache
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