Ça y est, l’auteur de 99 francs n’est plus seulement ringard, en retard de trois guerres littéraires et de 14 modes, le voilà définitivement vautré dans l’obscène, diaphane chroniqueur mondain de la décadence des pauvres riches perdus dans la vacuité d’un monde trop petit pour leur ego quand même un peu blessé de ne pas être reconnu à la hauteur de leur génie observatoire des militants quotidiens de l’inhumanité. Devant sa caméra satisfaite, même Audrey Fleurot devient laide. Puisses-tu exploser d’égoïsme mal digéré, Frédéric, puisqu’apparemment tu ne souhaites pas mieux.
L’IDEAL de Frédéric Beigbeder
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