C’est un peu la même impasse que dans La Vénus à la Fourrure, lorsque la falote Emmanuelle Seigner devait se transfigurer en actrice remarquable pour finalement s’échouer sur les limites de son jeu : un producteur loser tombe en pâmoison à l’écoute des compositions de sa nouvelle muse… et on se demande bien pourquoi, tant elle se vautre dans de la soupe pop folk gnangnan de contrefaçon. Difficile de passer outre, même si le réalisateur de Once esquive avec une certaine agilité les figures imposées de la comédie romantique.
NEW YORK MELODY de John Carney
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