Plusieurs mois après sa projection, le souvenir de ce post-apocalyptique lo-fi, plutôt plaisant à regarder jusqu’à son épilogue what the fuck, est plus nuancé qu’à l’époque de grave disette cinématographique qui l’avait vu sortir. Au-delà de la constatation pour le moins inattendue du talent de Robert Pattinson quand il n’est pas dirigé dans des bluettes vaguement fantastiques pour fillettes mormones ou par des auteurs en pré-retraite, The Rover échoue à marquer ne serait-ce que sur le moyen terme, ce qui est tout de même un comble pour un western atmosphérique.
THE ROVER de David Michôd
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