Le premier film était un cas d’école dans le domaine du foutage de gueule : le high concept expliqué dans les premières minutes avec emphase, pour finalement ne jamais être exploité au profit d’un huis clos petit bras et mal branlé. La suite promettait de sortir d’entre quatre murs et de nous balancer au cœur d’un récit apocalyptique : faute de budget et d’intelligence dans le traitement, James DeMonaco nous offre Les Guerriers du Bronx made in 2014.
AMERICAN NIGHTMARE 2 de James DeMonaco
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