Alors c’est l’histoire d’un réalisateur / scénariste qui a une super idée, un « high concept » comme on disait dans les années 80 avant de crever sur ses chiottes d’obésité morbide et d’abus de substances. Imagine : une nuit par an, tous les citoyens d’une Amérique dystopique ont le droit de commettre tous les crimes qu’ils veulent, sans intervention policière. Tu les sens, les possibilités narratives de malade ? Et bien il n’en sera rien, puisque tout le film se déroule en huis clos. Voilà.
AMERICAN NIGHTMARE de James DeMonaco
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