Ça doit bien faire trois semaines que je retarde la chronique de ce film pourtant infiniment moins désagréable que, disons, une minute de la série « comique » P’tit Quinquin. Déjà, je ne l’avais vu en salle à l’époque que pour patienter deux heures avant de pouvoir poser mes encombrantes valises dans un domicile accueillant. Le lendemain, j’avais déjà oublié l’avoir vu. La force du sujet s’y évapore sous l’effet d’une réalisation techniquement correcte mais impersonnelle à s’en pendre. Ni plus ni moins qu’un Dossier de l’écran avec un chef op’ investi et des acteurs agréés.
D’UNE VIE A L’AUTRE de Georg Maas
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