L’adaptation de et par DOA signée Eric Valette ne souffre que d’être sortie 30 à 40 ans trop tard. Réminiscence teigneuse des drames campagnards réglés à coups de 22 long rifle, le film prend le risque de croiser les effluves les plus inattendues : Terence Yin et Stéphane Debac en binôme, Pascal Greggory en flic roué, Tomer Sisley dans une performance convaincante… Le Serpent aux mille coupures ne sauvera pas le polar français à lui tout seul, il lui donne en tout cas de beaux spasmes.
LE SERPENT AUX MILLE COUPURES de Eric Valette
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