Cette petite chronique familiale sur fond de misère sociale et de névrose bipolaire tire son épingle du jeu grâce à la profonde honnêteté de son regard et à la sincérité parfois désarmante de ses jeunes actrices. Dans le rôle du père, Mark Ruffalo semble donner tout ce qu’il a, ce qui est tout de même inquiétant vu que ce n’est pas non plus la performance de l’année, du mois, ou même de la semaine. Le risque qu’il devienne insupportable dans les mois à venir est de 7 sur l’échelle de Jesse Eisenberg.
DADDY COOL de Maya Forbes
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