A l’instar du récent Snow Therapy, le dernier tour de force en date du père Fincher tire sa force de ses ambiguïtés, de ses non-dits que tout un chacun peut s’approprier pour en retirer une interprétation qui lui est propre. Misogyne et terrifiant pour les uns, féministe et hilarant pour les autres, Gone Girl laisse le spectateur libre de sa réception sans jamais surligner ses intentions, si ce n’est celle de livrer une peinture à l’acide de la mort du couple.
GONE GIRL de David Fincher
Posted on