La curiosité de la semaine nous vient du méritant auteur de la saga Phantasm et du cultissime Bubba Ho-Tep. D’un feuilleton horrifique délirant initialement publié sur le web, Coscarelli livre une matière sombre, grotesque, tirant le meilleur parti visuel possible de ses maigres possibilités. Rien que pour le caractère imprévisible et gonzo de l’intrigue, ou même pour l’excellence d’un Paul Giamatti parti depuis faire l’imbécile dans Amazing Spider-man 2, cet objet autre au titre fabuleux mérite le coup d’oeil.
JOHN DIES AT THE END de Don Coscarelli
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