SHARKNADO 3 de Anthony C. Ferrante

Même sous la torture, il ne faut pas reconnaître un quelconque intérêt à cette surenchère dans l’ironie facile et le méta débilitant. Tout au plus une meilleure facture que les deux précédents volets, puisque c’est une évidence factuelle ; mais poser un pied hors de la fosse septique ne suffit pas à faire partir l’odeur.