La rencontre entre une écriture caricaturale à la Mocky pas toujours assumée et une maîtrise du plan-séquence façon Gus Van Sant inspiré d’Alan Clarke aurait pu, dans un monde parfait, fuser d’étincelles. En pratique, le malaise du personnage principal prolonge l’incompatibilité irréconciliable entre le scénariste et le réalisateur qui, par un hasard malencontreux, se trouvent être la même personne.
UN FRANCAIS de Diastème
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