Et le titre de bad guy emblématique de l’année revient donc à Jeffrey Dean Morgan, tout petit hunk en ensemble cuir marcel qui voudrait faire redneck inquiétant derrière sa petite barbe de trois jours trop mignonne. Le film du fiston d’Alfonso, quant à lui, n’est pas aussi raté qu’on a pu le lire, il parvient même à faire oublier la grossièreté rudimentaire de son script le temps de plans assez somptueux. C’est peu, mais c’est toujours ça de pris.
DESIERTO de Jonas Cuaron
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