De la non importance de la version québécoise, dynamitage régulier de l’appréciation de ce polar par ailleurs excellemment gaulé d’une patine seventies juste et sale. Et non, ce barrage de l’accent n’est pas la raison pour laquelle j’ai envie d’envoyer Xavier Dolan se faire couper les cheveux.
DISCOPATH de Renaud Gauthier
Posted on