Troisième film du collectif Astron 6, après la production Troma remarquablement paroxystique dans l’ignoble Father’s Day et le très rigolo en trailer et limite regardable en format long Manborg. Les mauvais garçons sortent du bac à sable référentiel midnight movies et série Z pour louvoyer du côté de la série B : le casting sait jouer, la mise en scène ralentit sa syncope, la photo claque. Ça s’embourgeoiserait presque, dis donc. Heureusement, il reste encore suffisamment de zeste de folie pour sortir ce quasi huis clos post-lovecraftien du tout-venant VODesque.
THE VOID de Jeremy Gillepsie et Steven Kostanski
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