Je veux bien ranger ma mauvaise foi et mon aigreur dans la cinquième poche de mon jean, celle où je cale ma cigarette électronique du 3e millénaire pour mieux la dégainer en cas d’angoisse devant les produits artistiques génériques à destination des Millenials. En effet, rien ne nous dit que Peyton Reed n’a pas fait de son mieux en prenant la relève d’un Edgar Wright dépité de son expérience avec la maison Marvel, qu’il n’est pas à l’origine des meilleures trouvailles humoristiques et idées de mise en scène. Mais quand le bétisier de trente secondes s’avère infiniment plus drôle que l’intégralité du film, c’est qu’il y a tout de même un problème.
ANT-MAN de Peyton Reed
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