Parlons donc de Simon Yam. Depuis 2010, cette gueule indissociable des meilleures évolutions du polar hongkongais est comme en préretraite, et ce n’est pas ce machin mollasson signé par l’admirable escroc Wong Jing qui risque de prouver le contraire. Au diapason de son personnage de flic has-been, Simon traîne des pieds, et fait avancer l’intrigue toutes les vingt minutes, quand le temps devient vraiment trop long. Trop tard : au bout d’une heure, l’apathie emporte tout sur son passage.
BLACK RANSOM de Wong Jing
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