Le tour de force le plus remarquable (toutes proportions gardées) du troisième volet des aventures de Xavier est d’essayer de nous faire croire que ses aventures puissent devenir des best-sellers à même de lui garantir un train de vie plus que confortable. Désir d’avenir bourgeois, inconséquence à tous les étages, aphorismes insupportables, tout ça pour un retour flemmard à la case départ… hier enjoué et joueur, le cinéma de Klapisch ne raconte aujourd’hui plus rien et se contente de paraphraser mollement l’époque. Rendez-vous dans dix ans, pour des commentaires décalés de Xavier sur le bon usage du Viagra.
CASSE-TETE CHINOIS de Cédric Klapisch
Posted on