Bête de festival, cette première œuvre à la réalisation indéniablement maîtrisée peine cependant à survivre à une vision solitaire. Gerard Johnstone dose avec autant d’enthousiasme que de maladresse le mélange d’horreur et de comédie, la seconde étouffant systématiquement la première avec la grâce d’un coup de coude dans les côtes. Lui préférer sans aucune hésitation son compatriote What we do in the Shadows de Jemaine Clement et Taika Waititi.
HOUSEBOUND de Gerard Johnstone
Posted on