Chaque société a les batailles pour la liberté d’expression qu’elle mérite. La meilleure blague de Seth Rogen aura sûrement été de pousser Barack Obama à défendre un film de fumiste écrit dans les vapeurs de weed, trop long d’une grosse demi-heure, aux sous-entendus homo éparpillés au tractopelle. L’époque confond définitivement potache et subversif.
L’INTERVIEW QUI TUE de Seth Rogen et Evan Goldberg
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