Calibré au millimètre près par des exécutifs sans goût pour se positionner pile entre Harry Potter et Hunger Games, ce second volet des aventures cinématographiques du fils de Poséidon (qui fait « Papa ? » quand il est près d’un lac) a tellement peu de personnalité qu’il s’oublie quasiment au fil de la vision, tout comme le premier. Au point qu’on se demande régulièrement qui sont ces gens, quel est leur projet, tiens, pourquoi ce serveur a-t-il huit bras, ou comment peut-on faire des images de synthèse aussi laides en 2013 ?
PERCY JACKSON : LA MER DES MONSTRES de Thor Freudenthal
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