A MOST VIOLENT YEAR de J. C. Chandor

Le problème, avec les films de Chandor, c’est la gravité forcée de chaque plan, de chaque scène, cette impression que le réalisateur joue des coudes pour s’imposer directement à la droite des plus grands, sans demander l’avis de personne. Indépendamment, chaque élément de cette chronique socio-économique flamboie au firmament de l’excellence, mais leur somme donne un résultat pompeux à force de grandeur « suggérée ».