Je n’ai pas vu le même film que tous les critiques dithyrambiques abondamment cités sur l’affiche, en une glorieuse golden shower promotionnelle sur le casting en contrebas. Dans le film que j’ai vu, Mathieu Amalric marivaude comme un enfant prodigue de sous-préfecture avec la meuf de Gilles Lellouche, sur fond d’héritage paternel mal digéré. À peine de quoi fouetter la dépouille du dernier puma abattu par un dentiste.
BELLES-FAMILLES de Jean-Paul Rappeneau
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