Le seul problème de ce somptueux conte gothique, c’est sa nature de longue exposition pour un climax final magistral, très très gros morceau de bravoure cinématographique de l’année passée. Tout affairé à positionner ses pions avec la minutie d’un horloger rongé par le mal, Del Toro attend le dernier moment pour abattre son jeu et s’aliène les spectateurs impatients, soit 75 pour cent du public. Dommage.
CRIMSON PEAK de Guillermo Del Toro
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