Au théâtre ce soir, André Dussolier tente désespérément de se mettre au niveau du colossal Niels Arestrup, et il faut lui reconnaître une certaine bravoure dans l’effort. De son côté, le metteur en scène du Tambour multiplie les astuces pour faire passer la lancinante impression de représentation filmée, et parvient à faire illusion. À défaut de réelle grandeur, l’élégance des dialogues peut séduire.
DIPLOMATIE de Volker Schlöndorff
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