François Damiens tourne trop, c’est un fait, c’est historique. Ici, on le sent à deux doigts de nous faire une Poelvoorde dans le registre dramatique en sur-régime. On le sent se forcer à donner un semblant d’épaisseur à son personnage fonction dans une histoire au mieux inconsciente, au pire limite dans son discours. Laissez-le tranquille, il ne vous a rien fait.
LES COWBOYS de Thomas Bidegain
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