La bande-annonce ne disait qu’une chose : il faut aller voir ce film pour le grandiose Benedict Cumberbatch, incarnation ultime de Sherlock Holmes, acting killing machine dont même les variations capillaires innommables à la Nicolas Cage n’entachent pas la superbe. Et le film, très habile variation sur l’univers trekkie plombée par l’écriture télévisuelle déjà ringarde de ce gros boulet de Damon Lindelof, ne fait que le confirmer. Benedict, you rock so hard it hurts.
STAR TREK INTO DARKNESS de JJ Abrams
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