Chaque fois que le polar français lève un genou pour commencer à se redresser, Frédéric Schoendoerffer débarque avec l’un de ses produits frelatés pour lui recoller la gueule contre le bitume. Gérard Lanvin la joue virilité soralienne pour se hisser à la hauteur de Niels Arestrup, dont les dialogues ont été truffés de répliques à l’emporte-pièce histoire de le mettre à niveau.
96 HEURES de Frédéric Schoendoerffer
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