Brian Cox, ce trésor international d’origine écossaise contrôlée, honore solidement ce véhicule grabataire à sa gloire. Il fulmine avec joliesse, bougonne avec suffisamment d’entrain pour réveiller occasionnellement un film dont le climax se cantonne à une allocution radio, certes historique, mais mise en scène avec à peine moins de platitude que les précédents échanges dialogués en salons feutrés sans passion par des stagiaires Erasmus.
CHURCHILL de Jonathan Teplitzky
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