Requiem pour Don Johnson. À toi, éternel James Crockett des années 80, dispensable Nash Bridges des années 90, gloire télévisuelle fanée désormais condamnée aux travaux d’intérêts généraux d’une industrie qui te tolère, pourvu que tu endosses la défroque d’un David Hasselhoff sudiste – soit le visage connu qui accepte de venir se faire humilier quelques minutes, histoire de mettre la production en valeur. Au moins, ce polar château de cartes t’offre une poignée de plans iconiques avec de s’effondrer dans sa deuxième moitié.
COLD IN JULY de Jim Mickle
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