Il faut louer la volonté d’Elijah Wood de se frotter au film de genre, et en particulier à ses représentants espagnols. Mais ce postulat de court-métrage fendard inutilement étiré jusqu’à sa très décevante conclusion ne lui donne strictement rien à bouffer niveau acting, sinon des simagrées gênantes et l’embarras visible de se faire passer pour un maestro. La caméra d’Eugenio Mira s’agite par peur du vide, et meuble tout ce qui peut l’être.
GRAND PIANO de Eugenio Mira
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