Ce pompeux récit choral autour de l’assassinat de Kennedy n’est qu’un pénible défilé de seconds couteaux hollywoodiens, venus montrer à la caméra à quel point ils peuvent avoir l’air triste dans l’adversité. Tout est lourd, pesant, tout le monde fait la gueule, tout le temps. Dès qu’il commence vaguement à se passer quelque chose du côté de la famille de Lee Harvey Oswald, le montage enchaîne sur l’une de ses dix sous-intrigues amorphes et peut avoir raison de n’importe quel spectateur un minimum résistant.
PARKLAND de Peter Landesman
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