Rien de nouveau sous le soleil du polar viril : les flics sont ripous, les têtes brûlées sont les meilleures ressources de la protection civile, les jolies pépées ont la cuisse un peu trop légère et les dealers ne sont que des bad motherfuckers. Il est à parier que le résultat serait déjà oublié sans la présence derrière la caméra du réalisateur d’origine islandaise Baltasar Kormakur, qui honore sa commande hollywoodienne d’un style clinquant à l’efficacité certaine, proche d’un Michael Bay qui aurait enfin décidé de suivre un script.
2 GUNS de Baltasar Kormakur
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