Comment flinguer le cinéma d’horreur à petit feu ?
Phase 1 : Ne sortir en salles que des produits calibrés pour faire sursauter tous les quarts d’heure, dans une telle ambiance de renoncement artistique que le piteux Lazarus Effect devient le haut du panier.
Phase 2 : Quand un film d’horreur à peu près correct comme Oculus parvient in extremis à sortir en DVD, le dissimuler sous un autre titre, histoire d’épuiser encore un peu ses maigres chances de trouver son public.
Phase 3 : … profit.
THE MIRROR de Mike Flanagan
Posted on