Avec application mais sans génie, Kim Seong-hun tricote son fil de péripéties comme une housse de rocking-chair. Amour du travail bien fait, de ne pas dépasser d’une maille. La facture de Tunnel semble à ce point générique que son discours, au final, peut aussi bien s’envisager comme critique balourde du jeu politico-médiatique, comme métaphore alambiquée sur l’impuissance du patriarcat face aux défis de demain… que comme l’inverse.
TUNNEL de Kim Seong-hun
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