Dégringoler au 36e dessous ne suffit plus à Robert De Niro, il lui faut désormais entraîner d’autres victimes dans sa chute. Ainsi d’Aubrey Plaza, comédienne torturée, passionnante jusque dans des productions indépendantes ronflantes de leurs toutes petites astuces d’écriture, ici débauchée dans un rôle à la vulgarité indigne d’Afida Turner. Tant d’humiliation de potentiel pousse à détourner les yeux.
DIRTY PAPY de Dan Mazer
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