La joie irradie lorsque le personnage de Christian Clavier parvient enfin à écouter son disque de jazz. Pas pour empathie pour ce sombre cuistre, mais parce que l’absence de finesse du montage et de la mise en scène nous indique que le générique de fin arrive dans quelques secondes.
UNE HEURE DE TRANQUILLITE de Patrice Leconte
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