Des limites de la méthode Kervern / Delépine et de leurs films improvisés au fil du tournage. Moins aléatoire que Le Grand Soir, leur nouveau route-film ne brille pas par sa finesse, redite en moins bien de leurs débuts, à la poursuite d’une magie disparue dans les vapeurs d’alcool. Les plans-séquences s’étirent plus que de raison, le personnage de Michel Houellebecq répète tout trois fois histoire d’enfoncer le clou, l’image est d’une laideur repoussoir. L’anarchie oui, mais avec un peu plus de conviction, s’il vous plaît.
NEAR DEATH EXPERIENCE de Gustave Kervern et Benoît Delépine
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