Faut-il jouer avec les choses mortes ? C’est la question que se pose le 5e épisode de Discordia, consacré à l’ultime film maudit d’Orson Welles exhumé par Netflix.
Le gang sombre peu à peu dans la folie avec cette fournée qualifiable de moyennement réjouissante. Au programme : Sanglantes Confessions de Ulu Grosbard, Mission de Roland Joffé, Angel Heart de Alan Parker, Sleepers de Barry Levinson.
François débat avec Daniel Andreyev des mérites de l’acteur de la saga Camping, et plus généralement de la comédie française des années 2010.
Les nerfs du gang commencent à lâcher sous le poids des monuments chroniqués. Au programme, près de 18h de visionnage, de relecture de l’Histoire du XXe siècle, de « You fresqued my life » à gogo avec : 1900 de Bernardo Bertolucci, Le Parrain 2 de Francis Ford Coppola, Il était une fois en Amérique de Sergio…
François s’en va causer avec Renaud Brustlein, l’homme derrière le projet musical H-Burns et grand amateur de la chose footbalistique.
L’équipe s’attaque aux cinq premières collaborations entre Robert de Niro et Martin Scorsese : Mean Streets, Taxi Driver, New York New York, Raging Bull et La Valse des Pantins.
Pour ce deuxième épisode bien arrosé qui devait se solder par une entorse en fin de soirée, François débat de Donald Trump avec Antoine, un aficionado grenoblois.
Anouck, François, Matthieu et Max attaquent la décennie 1970 avec une palanquée de films dans lesquels Robert se cherche, gestes et accents chelou à l’appui. Au programme : Sam’s Song de Jordan Leondopoulos (1969) Jennifer mon amour de Noel Black (1971) Né pour vaincre de Ivan Passer (1971) The Gang that couldn’t shoot straight de…
En juillet 1986, La Nuit du risque sort sur les écrans français. Un drôle de polar, pamphlet à deux de tension contre le moulin à vent de la férule socialiste, truffé de scènes dans des meetings de Jacques Chirac. Un film né de l’amitié entre le réalisateur Sergio Gobbi et le député Robert-André Vivien, expérimentation…
François et le Professeur Rico débattent de façon apaisée sur un sujet de discorde mutuelle, Durendal et plus globalement la critique ciné face aux YouTubers. Génériques : Rien, « Requiem pour des Baroqueux (Part 2) »
