AVALANCHE DE REQUINS de Scott Wheeler

Tourné avec un dédain manifeste par un type dont le plus haut fait d’arme reste d’avoir torché Transmorphers 2 pour les escrocs de chez The Asylum, interprété par des jean-foutre dont la flemme évidente les rend peut-être encore plus antipathiques que leur personnage, rythmé avec une incompétence qui frôlerait presque le respect, Avalanche de requins ne serait qu’un sous-produit d’une tristesse infinie si les doubleurs français et les responsables (aux sens pénal et figuré) des effets spéciaux ne donnaient l’impression de s’être franchement marrés. L’espoir, toujours.